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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 09:21

seal.jpg

 Seal est l'un de ces quelques gars que je voulais voir sur scène depuis un moment.

 

A l'Amphithéatre ? Tant pis !

 

Jain en première partie. Une petite jeune qui passe bien. Une présence sympa. Une belle voix. Elle compose et écrit ses textes ... en anglais. Le bon choix ? Je la verrais bien se concentrer sur le chant en continuant à s'accompagner de sa guitare mais peut-être d'autres compositeurs, des textes en français ?

 

 

Seal !

 

Ce mec dégage quelque chose. Plein de choses. De l'énergie. De la générosité. De la présence.

 

Ajoutons une belle voix. Des choix artistiques sinon vraiment originaux, du moins bien à lui.

 

Quand je vois le faible engouement parmi les potes, je me dis que je dois zapper un peu facilement un côté peut-être trop charmeur, un côté un peu Julio à sa façon parfois. Probablement trouve-t-on son regsitre trop facile, trop "pour tout le monde" ? D'ailleurs le public d'hier était vraiment très divers en âge et en allure.

 

Seal2

 

Une chose est sûre : j'aime bien écouter ses CD. Et je n'ai pas été déçu par sa présence sur scène !

 

Une entrée sur scène bien pêchue. Une ambiance vite établie avec la bonne vieille recette d'un petit tour dans la salle.

 

Puis il interpelle le public style "vous êtes bien sages, bien habillés, vous vous tenez très bien dans vos fauteuils mais je pense que vous allez bouger ..."

 

 

Un ou deux titres plus loin nous sommes quelques dizaines à descendre pour nous improviser une fosse et pouvoir nous bouger un peu.

Seal4

 

Le concert se déroule ainsi. Vraiment cool. Un petit coup d'accompagnement à la guitare sèche.

 

Seal6

 

Fin de concert. Seal présente sa "family", ses musicos. Puis remercie Jain pour avoir fait sa première partie (pas si fréquent qu'un artiste évoque sa première partie. Surtout avec une telle différence de notoriété ...)

 

Seal7

 

Y a plus qu'à reprendre la voiture. Une bien belle soirée !

 

 

Seal8

 

 

Allez, une petite sélection!

(prélevée sur Youtube. En concert je fais quelques rapides photos avec l'Iphone pour le souvenir mais je ne me vois pas écouter un titre en ayant l'oeil sur un écran de smartphone ...)

 

L'indémodable Crazy (si ce n'est le look de Seal ...)

 

 

Le superbe Kiss from a rose :

 

 

Le titre que j'adore (et qui m'a fait quitté mon siège comme bien d'autres ; pas tant que çà d'ailleurs ...) : My vision

 

 

 

Nous n'avons pas eu droit hier à sa superbe reprise de Stand by me dont vous avez peut-être déjà vu cette version king size, très belle !

 

 

 

 

Photos : celle qui est en vignette a été piochée sur Google Images (c'est l'image généreuse de Seal, celle qui me paraît coller au gusse) ; les autres ont été prises hier par mes soins .... avec la qualité de l'Iphone.

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 00:12

NTH8.jpg

Le théatre le plus proche de mon domicile et un théatre où je n'étais jamais allé !

 

Et puis une proposition à laquelle j'avais vraiment envie de répondre positivement.

 

Alors je regarde l'agenda : le spectacle est joué les 8, 9 et 10 Novembre.

 

Le 9 j'avais réservé SEAL de longue date.

Le 10 je n'avais trouvé d'autre date pour un spectacle de flamenco prometteur à la Maison de la Danse.

Donc va pour le 8, qui se trouve donc être le point de départ d'un trio très différent !!!

 

Cette première étape se décompose elle-même en trois parties.

 

La première est basée sur un très beau texte de Suzanne Lebeau, Le grillon. Wikipedia dit de S.LEBEAU "dramaturge pour enfants". Euhhh, "Le grillon" ne me parait pas vraiment être pour enfant. Où alors s'assurer qu'il est en dessous de l'âge pour comprendre !

Ce qu'en dit le site de NTH8 me va bien : "C'est un drame à petite échelle, notre histoire à tous, celle d'une cassure net et intense qui se produit dans un univers si secret que son avènement, écrasé par le bruit des existences à venir, ne franchira pas la limite qui sépare l'enfant du monde des adultes, mais que l'enfant emportera avec lui dans sa vie d'adulte." 

Même si je ne suis pas si sûr que ce soit notre histoire à tous.

 

Texte très bien interprété, décor, lumières très bien. Un accompagnement musical par une harpe et une guitare réhausse le texte, l'enrobe, le souligne.  Vraiment très beau. 

 

La deuxième étape c'est de la musique électronique pour 8 canaux. Une composition de Jérôme Bertholon. Expérience musicale. Moment de rêve, d'entre deux. Dans une salle aux lumières éteintes. (sauf un fucking bloc de secours : ah les normes, la sécurité ....). Très agréable.

J'avais très peu de repères en la matière depuis Pierre Henry (celui de Messe pour le temps présent).

(Mais c'est seulement mon seul "repère". Je ne ferai pas de lien qui n'existe peut-être pas entre ces types de musique)

 

Et enfin B.D.A Où LE MYTHE INVERSÉ de (et interprété par) Douce Mirabaud. "C'est le système neuronal d'une ville où l'artère m'a conduite à une application manuscrite.  C'est la traversée physique d'un rêve éveillé confronté à la matière brute de la réalité. Le langage s'affirme en écho à la mémoire sensorielle. De cette vision chaotique de l'absurde, correspond à mon sens l'utilisation de néologismes et d'expressions réinventées."

 

Une sacrée énergie dans ce jeu au service d'un texte lui-même plein d'énergie. L'ensemble "servi" par une batterie sur scène.

 

Au final un vraiment bon spectacle et deux conclusions pour ce qui me concerne :

- décidément l'ensemble "texte en solo + accompagnement par un ou deux musiciens" est une formule très forte et très agréable. Je l'avais découverte avec le Tigre bleu de l'Euphrate et referai volontiers cette expérience.

- le NTH8 est un lieu bien sympa. Une petite scène où la proximité est là et c'est super.

 

 

  PS : Messe pour le temps présent c'était notamment le Psyché Rock (finalement peu révélateur de l'album ! et rien à voir avec ce qui est proposé au NHT8)

 

 


 

 

PS 2 : je suis tombé sur cela par hasard dans la suite du surf Youtube sur Pierre Henry et je ne sais pas résister à Sylvie Guillem !

 

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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 20:29

les trois lumières

Moins d'une centaine de pages.

 

Du concentré.

 

Ce qui m'avait attiré dans ce roman c'est l'envie de retrouver l'Irlande. Pays de l'auteur. Pays où est située l'action. Mais surtout un pays que j'ai envie de revoir depuis que j'ai lu Sorj Chalandon / Mon traître.

 

En fait l'Irlande est y est surtout suggérée. On la retrouve si on veut.

 

Je reprends l'idée de suggestion à la journaliste de Elle citée dans l'édition de Poche. Elle dit à propos de ce livre "l'art de la suggestion poussé à son paroxysme". Pourquoi ne pas citer une journaliste d'Elle quand elle a plutôt raison (même si paroxysme est un peu fort ...).

 

C'est vrai que c'est une caractéristique de ce livre. Ce n'est pas dit ; c'est suggéré.

 

Mais qu'est-ce qui est suggéré ? A vous de voir. Il s'agit juste du séjour d'une jeune fille dans une autre famille que la sienne. Des jours qui passent. Des relations qui se tissent. De lumière(s).

 

Je ne vais surtout pas vous en dire plus. Sinon qu'on ne peut pas ne pas passer un bon moment avec cette lecture.

 

Et vous avez toutes les chances de passer un excellent moment. De ces moments qui vous enjolivent les pensées pour un moment. Non, tout n'y est pas rose. Loin de là. Mais l'impression d'ensemble reste sur du très beau.

 

Je conseille à tous sans hésiter une seconde !

 

"Au début, je n'arrivais pas à déchiffrer certains mots compliqués mais Kinsella plaçait son doigt sous chacun d'eux, patiemment, jusqu'à ce que je les devine, puis je l'ai fait toute seule jusqu'au jour où je n'ai plus eu besoin de deviner, et où j'ai continué ma lecture. C'était comme apprendre à faire du vélo : j'ai senti le mouvement , la liberté d'aller à des endroits où je n'aurais pas pu aller avant, et c'était facile"

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 16:01

Hors-champ-Sylvie-Germain.jpg

Pendant les vacances de la Toussaint, j'ai reconstitué ma "pile à lire". Une dizaine de livres : la saison est propice à la lecture.

 

Elle est déjà descendue de deux ouvrages, passionnants !

 

On va faire dans l'ordre de lecture même si je brûle d'envie de vous parler dès ce soir de celui que j'ai fini aujourd'hui ...

 

Mais parlons de "Hors champ", le premier que j'ai eu envie de lire. Pour l'idée : le personnage central disparaît petit à petit, devient imperceptible pour les autres.

 

Je ne connaissais pas l'auteur mais l'idée m'a bien plu.

 

Le bouquin est d'une épaisseur raisonnable.

(Je ne me lance jamais dans des pavés si je n'ai pas de bonnes raisons d'avoir confiance dans l'auteur. Autant dire que j'ai déjà lu un de ces livres auparavant).

 

Le style est correct. Rien d'extraordinaire mais bien agréable à lire.

 

Mais surtout l'idée est superbement exploitée. Je craignais le truc artificiel et creux au delà de l'idée initiale. Un effet mal décrit.

 

La description de la "disparition" est superbe. De progressivité. De méthode pour nous la faire ressentir.

 

Si je le conseille c'est aussi parce que l'auteur s'empare de cette idée "fantastique" pour en tirer une honnête réflexion sur notre attention aux autres, notre perception de l'autre (y compris olfactive, y compris tactile). Un regard sur ce(ux) que l'on ne veut pas voir aussi. C'est également l'occasion de parler du souvenir, du "loin des yeux, loin du coeur".

 

Voilà donc un ouvrage sans prétention qui vous fera passer un excellent moment sans prise de tête mais sans l'excessive légèreté qui vous fait dire "oui, bon, d'accord mais ... à quoi bon"

 

"Un banc absurde, inconfortable, divisés par des arceaux métalliques - afin que les clochards ne puissent pas s'y allonger pour dormir. Un banc mesquin, un chasse-misère."

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 18:17

fantasia.jpg

J'aime beaucoup ce dessin animé !

 

Si je n'y ai pas pensé ce matin en ouvrant les volets, le parallèle s'est imposé tout à l'heure en regardant les photos de ce matin.

 

Le genre de matin où après avoir vu le ciel, on tire rapidement l'appareil photo de sa douillette sacoche : "T'as dix secondes pour te réveiller mon gars !"

 

Mais, bon, les réveils matinaux, il a l'habitude !

 

Comme moi, il espère simplement que la scène va suffisamment durer.

 

Je le laisse faire. Balance des blancs en automatique comme toujours.

 

Un coup d'oeil sur l'écran : les couleurs sont effectivement extraordinaires. Il n'y aura rien à reprendre. Tout juste penser à virer ce pylône au fond sur la ligne d'horizon.

 

En ouvrant les volets cela donnait donc cela :

 

1 :MatinFantasia3

 

La ferme voisine est dans la brume du petit matin. Un air de Fantasia mais aussi un air de Carpathes (au lendemain du visionnage du Dracula de 1931 on ne peut pas ne pas y penser !)

 

2 : MatinFantasia7

 

 

3 : MatinFantasia8

 

 

Le ciel change lentement de couleur. S'enflamme davantage. L'enfer au delà de l'horizon ?

 

 

4 : MatinFantasia11

 

5 : MatinFantasia6

 

La brume continue à s'élever.

 

 6 : MatinFantasia5

 

On est presque surpris un peu plus tard de retrouver les classiques couleurs d'automne.

 

7 : MatinFantasia21

 

Le ciel retrouve le sourire ...

 

8 : MatinFantasia19

 

 

 

Et moi,  mes repères.

 

9 : MatinFantasia20

 

 

Fantasia, ...

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2 novembre 2012 5 02 /11 /novembre /2012 12:41

life martin parr

Les expos photos ne sont pas légion (peut-être ne suis-je pas assez curieux pour pousser la porte des galeries ?).

 

La Bibiliothèque Municipale de Lyon offre régulièrement ce plaisir (et bien d'autres d'ailleurs).

 

Plaisir multiple. Gratuit. Et avec très peu de monde malgré la fréquentation de la bibliothèque elle-même ...

 

En ce moment c'est Martin Parr qui est à l'honneur, comme il l'était il y a quelques mois dans le cadre de la revue de Reporter sans frontières.

 

Les photos qu'il propose ? Vous en aurez un aperçu sur le site de la BM.

 

Expo à la BM de Lyon

 

Et plus généralement sur le Site de Martin Parr (page des photos récentes)

 

Plutôt que de reproduire ses photos, j'ai préféré reprendre ses déclarations, reprises sur les murs de l'expo. 

 

 

MartinParrl1

 

  Celle ci dessus me plaît vraiment bien. Il y a un équilibre très délicat à trouver lorsqu'on photographie, filme, écrit des sketches sur ce registre. du "populaire". Martin Parr l'exprime très bien. 

 

 

 

MartinParrl4

 

 

Dans cette deuxième "déclaration" j'aime la dualité visible / invisible : "si vous voulez le voir, vous le voyez".

 

Le "il se passe des tas de choses" illiustre bien cette expo et le travail de Martin Parr en général. En rentrant dans l'expo je m'attendais à voir mises en relief nos mille et une petites habitudes sur la plage.

Ce qui est bluffant, c'est que cela va bien au delà.

Typiquement la photo qui m'a plu le plus c'est cette photo d'une plage en Chine, avec des adultes équipés de bouée, qui sont des chambres à air. Une photo, simplement.

 

 

MartinParrl3

 

  Enfin j'aime bien cette humilité et cette volonté de parler au plus grand nombre. Simplement pour dire.

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30 octobre 2012 2 30 /10 /octobre /2012 18:52

The_Shakespeare_romeo_juliette.jpg

Une petite promenade photo ce matin dans Lyon.

 

Rien d'extraordinaire.

 

Une sorte de footing : ce n'est pas le marathon mais on garde l'entraînement !

Formulé autrement, aucune tentative de faire LA photo dont on sera particulièrement content. Non, juste, regarder autrement sa ville et déclencher, déclencher, déclencher.

 

Cela dérouille le regard.

 

La première photo n'est pas facile à prendre. C'est un peu la page blanche. Et puis le regard se réveille et cela va mieux.

 

Quelques photos dans la boîte, retrouver la voiture. Et commencer à réfléchir. Comment organiser ces photos.

Qu'en dire ? Qu'en faire ?

 

Des légendes viennent à l'esprit. Un peu toujours les mêmes.

 

Non, cette fois, raconter une histoire.

 

Et Roméo s'invite ...

 

 

 

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30 octobre 2012 2 30 /10 /octobre /2012 00:00

les années douces

J'ai découvert cet auteur avec "La brocante Nakano".

 

A l'issue de cette lecture, je savais que je reviendrai rapidement dans cet univers.

Les années douces ont été au rendez-vous de mes attentes !

 

Ce roman c'est d'abord le monde de Kawakami. Son écriture est vraiment très agréable pour cette façon très japonaise de souligner le plaisir qui peut être présent dans les faits, les gestes de tous les jours, dans ce qui nous entoure.

 

Et ce qui entoure la narratrice c'est le Japon, le saké, les sashimis, les repas au comptoir, les pièces de x tatamis, les futons et autres fusuma ou tabi. Formulé autrement c'est une petite atmosphère d'ailleurs pour le lecteur occidental.

 

Ce sont aussi par ci par là les haiku. C'est toujours un plaisir cette forme poétique.

 

Ceci étant, cet "exostisme" n'est jamais envahissant et nul n'est besoin d'être fan du Japon pour apprécier. La preuve !

 

Mais ce livre c'est aussi, d'abord ?, une très belle histoire.

 

Tsukiko une femme qui approche la quarantaine rencontre par hasard son ancien professeur de Japonais. Ils boivent du saké ensemble. Un moment agréable pour tous les deux. Une relation différente.

 

Au fil des pages nous suivons Tsukiko et le maître, comme elle l'appelle. La narratrice, Tsukiko, nous fait partager quelques errances, d'autres rencontres, ses hésitations et, surtout, les plaisirs simples avec le maître.

 

C. FERNIOT, pour Télérama, écrit sur la 4° de couverture : "Un livre d'une délicatesse à couper le souffle". C'est effectivement ce qui le caractérise.

 

Pour info, un très beau manga, si j'en crois ce qui est écrit ici et là, reprend fidèlement cette histoire. Les planches qui illustrent cet article sont donc de Taniguchi.

 

années douces

 

 

"Tout en grommelant, le maître a rempli sa tasse à ras bord. Puis il a continué à réciter le poème :

Au delà de la rivière

A peine perceptible le son d'une flûte

Touche le coeur du voyageur

Les yeux fermés, comme s'il écoutait sa propre voix, il récite. Moi, j'ai regardé les piles de toutes tailles, sans penser à rien de précis. Les piles étaient calmes à présent, sous la faible lumière. De nouveau, la lune s'est enveloppée d'un halo"

 

taniguchi années douces rencontre

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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 17:13

l-observatoire.jpg

La scène se passe cet été pendant les vacances.

 

Le programme assez diversifié comportait une rando. 

 

Laquelle ? Ce n'était pas défini. Nous étions déjà allés au dessus d'Aussois. L'idée était cette fois de monter jusqu'au refuge à 2300m, le parking étant vers 1950 m. Une petite promenade pour des gens peu entraînés quoi !

 

Pause à Aussois pour acheter des chaussures de rando. Quand on n'a pas de tête et qu'on a oublié ses pompes, il n'y a plus qu'à sortir la carte bleue et faire vivre le commerce local à des prix pas vraiment décathlon mais on est bien content de trouver cette boutique donc ma foi, tant pis !

 

Arrêt au parking. Sac à dos ... sur le dos et go !

 

On arrive finalement assez tôt au refuge, vers 11h00. Ce serait dommage de s'arrêter aussitôt.

 

1 : AussoisObs2

 

 

2 :

AussoisObs21

 

 

3 : AussoisObs204

 

4 :

AussoisObs205

 

 

On laisse donc là nos rencontres du jour ! Dieu nous accompagnera-t-il ?!!!

 

5 : AussoisObs19

 

Casse croûte un peu plus haut. Il est encore tôt. Ce serait dommage de s'arrêter si tôt (air connu !).

 

Et à partir de là, cela va un peu s'enchaîner ....

 

Quand l'un se dit "ouf, c'est bon si on s'arrêtait là ?", l'autre dit "on peut continuer encore un peu, non ?" ...

 

Une croix prend le relais pour la motivation. C'est vrai, çà fait un but ! Elle paraît proche. Allez, on atteint la croix et on redescend.

 

6 : AussoisObs82

 

 

Ouf, là voilà cette fichue croix ! C'est dommage, le col est si proche et là on voit le Mont Blanc.

 

C'est reparti !

 

J'adore quand on arrive dans cet univers minéral. On est ailleurs. On perçoit qu'on est, de fait, plus près des nuages. En général, vu notre rythme, quand on arrive il n'y a plus grand monde. On profite, enfin du calme et d'une sensattion d'ailleurs, de tranquilité, de sérénité ?

 

 

7 : AussoisObs96

 

8 : AussoisObs64

 

 

Le col, enfin. Bel vue sur le Mont Blanc effectivement.

 

 

9 :

AussoisObs106

 

Purée, 2930m, la pointe de l'Observatoire culmine à 3015m. Une occasion de passer pour la première fois les 3000m. A chacun ces Himalaya. Allez on y va ? Yes !

 

10 :

AussoisObs99

 

Quelques dizaines de mètres et çà y est, notre petite victoire du jour.

 

Puis vient la descente. Toujours infiniment longue. Infiniment belle. La lumière se fait différente. Les ombres s'allongent.

 

11 :AussoisObs186

 

12 :

AussoisObs197

 

On retrouve les petites fleurs avec plaisir.

 

14 : AussoisObs175

 

 

15 :AussoisObs78

 

Les abords du barrage ont un autre charme.

 

16 :

AussoisObs214

 

 

17 :

AussoisObs222

 

 

18 :

AussoisObs240

 

19 :

AussoisObs229

 

Pourquoi ne randonne-t-on pas plus souvent ?

 

(pour qui veut prolonger la promenade : l'album est là 

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 14:57

Bela-Kontuly_Le-Tibre-au-Pont-Sisto_1930.jpg

Tout est dans le titre. En lisant Ecrire de Duras et le texte Roma en particulier, j'ai eu envie de revenir sur ce voyage à Rome au printemps et une thématique photo que je n'avais pas encore publiée : le Tibre à Rome.

 

Des géographes pourraient bien sûr expliquer cela : les grandes villes, les capitales, sont souvent traversées par un fleuve (la logique transport -> économie -> pouvoir je suppose).

 

Ce fleuve est alors une composante importante de la ville. Lyon et ses deux ou trois fleuves (avec un peu d'approximation pour la Saône et selon qu'on compte ou non le beaujolais ...), la Seine à Paris, River Thames in London , Prague et la Vltava etc ...

 

Mais autant de villes et de fleuves, autant de mode de vie en couple.

 

Le Tibre m'a surpris par sa non intégration dans Rome.

 

Descendre sur les rives du Tibre c'est faire une pause dans son séjour à Rome. Le calme au milieu du tumulte. La nature en pleine ville. Un certain laisser-aller vs l'élégance romaine.

 

Autant j'aime l'aménagement des berges du Rhône à Lyon, autant j'ai apprécié le côté calme sanctuarisé des rives du Tibre. Si on ajoute à cela le flash-back du pont Fabricio, j'aime comme dirait Facebook !

 

Retrouverez-vous cette ambiance dans ce qui suit ...

 

1 : Tibre (1)

 

 

 

2 : Le pont Fabricio Tibre (11)

 

3 : c'est écrit dessus ...

Tibre (6) 

4 : et même traduit pour les allergiques à Rosa, rosae, rosam, rosarum, rosis, rosis ....

Tibre (7)

 

 

 

5: un peu plus loin ....

Tibre (12)

 

 

6 : des berges si calmes

Tibre (2)

 

7 : rive gauche ou rive droite ?

Tibre (3)

 

8 : pause !

Tibre (4)

 

 

9 : mais le soir tombe.

Tibre (5)

 

10 :

Tibre (8)

 

 

11 : c'est bientôt la nuit

Tibre (10)

 

 

12 : bonne nuit, les petits !

Tibre (9)

 

 

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