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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 09:58

terre des affranchisLiliana Lazar : ce n'est pas un nom qui me disait quelque chose.

 

Terre des affranchis n'est pas non plus le genre de titre qui accroche forcément.

 

Alors comment l'ai-je acheté ce livre ?

 

Probablement bien placé dans les rayons de la FNAC et ... Babel, en, qui je place beaucoup de confiance (1) 

 

Certainement parce que sur la 4° de couverture il y est question de Moldavie, de Roumanie, de contes, de textes sacrés.

 

Il y est aussi question de récit policier. Ce n'est pas mon moteur mais c'est probablement la mécanique qui fait qu'on rentre très vite dans le roman et qu'on le lit de façon assez continue, avec la hâte classique en ces circonstances : retrouver son livre.

 

Ce qui est annoncé est bien au rendez-vous. Il y a l'ambiance de ces contrées. Tout du moins celle que j'imagine à travers les films et lectures, je n'y suis jamais allé.

 

Une partie du roman se rattache aussi un peu en terme d'ambiance au film "Le nom de la rose". C'est probablement le rôle du livre qui me fait établir ce lien mais peut-être aussi l'aspect enquête, une certaine dimension fantastique et l'ambiance sombre.

 

Dans ce roman le côté sombre c'est l'ambiance de la forêt, qui est une partie importante du décor. C'est vraiment bien écrit et on la sent cette forêt, ces odeurs, ces bruits, ces textures.

 

Je citerai enfin le sujet de la tolérance vis-à-vis de l'étranger qui est présent dans ce roman. Et comme il m'est cher, ce sera le dernier point que j'évoquerai.

 

Un livre à rajouter dans sa pile à lire puis sa bibliothèque. Indéniablement !

 

 

(1) : c'est amusant : je reprends la rédaction de cet "article" après avoir terminé celui sur la défense Lincoln et m'aperçois qu'il était également déjà question de confiance comme guide culturel. Mais n'est-ce pas l'un des meilleurs guides ?

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 20:30

Spring Run Re24

La virée de début de printemps, charolaise !

 

 

 

 

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 08:22

blues guitar neon signC'est parfois étonnant (et rassurant) de voir comment les choses cheminent, évoluent, de voir que nos idées se croisent et se recroisent ... 

 

Ces temps-ci je réfléchis à ma prochaine guitare. Au delà de l'envie d'avoir tel ou tel objet guitare, on s'aperçoit qu'il faut répondre à la question "pour quoi jouer". Visiblement, faute de faire ce choix, on est dans le compromis et là, je n'ai pas envie.

 

Donc, pour quel style de musique ? çà se complique. Il y a tant de musiques que j'aime.

 

Après un premier tri, restent flamenco, jazz, pop-rock, blues.

 

Pop-rock : pas vraiment de passion en ce domaine. Je trouverai toujours de quoi jouer quelque chose qui me fait plaisir mais pas de vraie envie.

 

Jazz : j'ai le sentiment qu'il faut une véritable culture musicale pour s'y attaquer. Le prof de musique confirmera !

 

Flamenco ou blues ? Echange avec le prof.

 

Flamenco ? Je n'avais pas idée de la difficulté. Mais le prof me dit :

1 : "je n'ai pas suffisamment de connaissance poiur vous enseigner cela correctement. Et vu sa compétence, j'imagine la difficulté ...

2 : "il faut déjà un bon niveau technique pour l'aborder"

 Tant pis.

 

Blues ? "Oui, çà peut le faire assez facilement" Il prend sa guitare. Quelques notes plus loin, l'enthousiasme est partagé. Visiblement çà le branche d'enseigner cela. Et moi de sentir cette musique à ma portée, yes !!!

 

Parenthèse : on a appris à danser le tango, faute de pouvoir apprendre à danser le flamenco. J'apprends à jouer le blues faute de pouvoir apprendre à jouer le flamenco. Le flamenco mène à tout ?

 

"Toute la musique que j'aime, elle vient de là, elle vient du blues". Vous connaissez  ....

 

Un univers à parcourir autrement maintenant. Je reviens donc sur l'idée de mon achat de guitare. Youtube ; guitare, blues.

 

John Lee Hooker : çà me va bien çà !! Avec Ry Cooder.  Tiens, Ry Cooder ! Ry Cooder pour moi c'est l'homme de Buena Vista Social Club, un pur moment de bonheur.

 

La petite bande avec les autres vidéos sur le côté de l'écran Youtube, vous connaissez ? Le truc où on passe trois heures à passer d'un coup de coeur à un coup de nostalgie !! Ainsi donc apparaît la Ry Cooder Paris Texas. Tiens, c'était lui. Superbes ce film et cette bande son.

 

Premières images de ce document. La route 66. La fameuse route de bien des rêves, de bien des mythes, qui recroise le mythe Harley.

 

Les routes se recroisent. On tourne en rond. Je préfère la première version : nos passions ne sont pas aussi disjointes qu'il y paraît. Une musique, un mode de locomotion, un goût esthétique c'est avant tout une vision de la vie.

 

Quelques vidéos à découvrir calmement. Zapping interdit, à savourer tranquillement. Quand le moment s'y prête !

 

Et à propos de route, il est temps de la prendre ...!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Buena Vista Social Club Chan Chan par birtusabas

 

 


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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 05:48

presse

Le passage suivant m'a, comment dire, ....surpris.

Dérangé, serait plus juste.

J'en ai surligné les passages les plus dérangeants. Ceux qui sentent le plus mauvais serait plus juste.

 

Extrait de 20 minutes :

"Jeunes filles fauchées sur l'A7: La famille va porter plainte contre la SNCF

Une plainte va être déposée ce lundi pour non-assistance à personne en danger, visant la SNCF, après la mort de trois Marseillaises fauchées sur l'A7 après avoir dû descendre d'un train faute de billet, a indiqué l'avocat Gilbert Collard, qui représente trois oncles des victimes.

«Cette plainte a pour but de mettre en cause l'agent de la SNCF et la SNCF qui auraient dû, s'agissant de personnes sans titre et sans papiers d'identité, informer la police, d'autant qu'on avait affaire à des gens mineurs», a déclaré lundi à l'AFP Me Collard, confirmant une information du Parisien .

Priées de descendre du train faute de billet

Peu avant minuit vendredi, Carmen, 12 ans, Charlotte, 13 ans, et Victorine, 19 ans, marchaient seules sur l'autoroute, à hauteur de Saint-Paul-Trois-Châteaux, dans la Drôme, quand elles ont été percutées par plusieurs véhicules alors qu'elles traversaient la voie rapide. Les trois jeunes filles étaient parties sans laisser d'explication, sans que cela inquiète leurs parents. Ceux-ci ont été entendus dimanche aprèsmidi par la police à leur domicile de la cité de la Castellane, dans les quartiers nord de Marseille, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Les policiers du commissariat du 15e arrondissement, qui travaillent en étroite collaboration avec les gendarmes drômois, ont saisi des vêtements et affaires personnelles afin d'effectuer des relevés d'ADN pour confirmer leur identité, en raison de la grande dégradation des corps.

Selon un témoignage, les trois jeunes gitanes étaient à bord d'un train au départ de Marseille et avaient été priées d'en descendre, faute de billet, en gare de Pierrelatte, à une quinzaine de kilomètres du lieu de l'accident."

 

Que suppose-t-on avec un certain nombre de termes employés ?


Les victimes :

Les trois jeunes gitanes.

A quoi fait-on référence : à leur origine ethnique (1), à leur mode de vie ou à autre chose, mais quoi ? S'il s'agit de leur groupe ethnique, oserait-on écrire les trois noires (non, heureusement !) ?

Cette information sur l'état de gitane doit avoir on suppose un rapport avec le sujet : écrirait-on les trois brunes ? S'il a un rapport avec le sujet quel est-il : ce n'est pas si grave, à prendre le train sans billet voilà ce qui arrive, çà risque pas d'arriver à nos enfants, ils n'éduquent vraiment pas leurs gamins ?

 

Les parents ont élu domicile dans la cité de la Castellane (çà nous évoque déjà quelque chose mais quoi ?), dans les quartiers nord de Marseille (Ah là çà me situe, çà craint là-bas d'après ce qu'en disent les journaux).

Là aussi on suppose qu'il y a un rapport avec l'accident et le lieu de résidence des parents ...

Pourquoi n'a-t-on pas donné un nom de rue si leur adresse a une telle importance ? Je ne sais pas moi "rue des mimosas", il doit bien y avoir un nom de rue même dans ces quartiers.

Serait-ce plus intéressant de créer quelque chose chez le lecteur en raccrochant l'accident à d'autres évènements ? Là aussi la vie d'un habitant des quartiers nord aurait-elle un poids différent ? Est-ce logique que venant de ces quartiers on ne paie pas le train ou on traverse l'autoroue n'importe comment ?

 

 

Le système

Là on est plus dans l'information en citant l'avocat

 Mettre en cause la SNCF

Ne devrait-on pas également mettre en cause la société d'autoroutes : comment peut-on gérer une autoroute en laissant les uns traverser la chaussée et les autres circuler à 130 km/h alors qu'on pourrait deviner qu'à seulement 15 kms d'une gare si proche de quartiers si difficiles on a toutes les chances que des enfants sans billet soient priés de sortir d'un train par un méchant contrôleur ?

Mettre en cause l'agent de la SNCF

Que devait-il faire ? Quelle est la règle en la matière, je n'en sais rien ? Mais je ne vois pas comment on peut mettre en cause la règle en attaquant la SNCF et celui qui l'applique en s'en prenant à l'agent de la SNCF.

Soit la règle est bien appliquée et on s'en prend le cas échéant à celui édicte la règle. Soit il s'agit d'une erreur de l'agent et on ne remet pas en cause une règle qui n'est pas, non ?

Cet homme ne va-t-il pas simplement être amené à culpabiliser inutilement ?

 

Et si l'agent avait appelé la Police, je vous fais une suite possible ? Le train s'arrête 30 minutes en attendant l'arrivée des forces de l'ordre occupées à maîtriser des jeunes gitans dans des cités diificiles. Mr Dupont de La-Joie prend du retard dans ce train. Ce retard l'amène finalement en retard à son rendez-vous qui était pour lui le rendez-vous du siècle sur le plan affaires et il charge Maître COLLARD de mettre en cause la SNCF qui ne sait pas acheminer les clients avec billets à l'heure tout en prenant soin de ses clients sans billet. Vous ne croyez pas ? Moi, çà me rappelle des histoires connues ...


Une dernière question : s'attaque-t-on ainsi aux vrais sujets ?

 

(1) : le terme n'est peut-être pas vraiment adapté mais je veux parler du groupe par opposition au mode de vie

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 18:51

lacDomp1Calme, incontestablement.

Luxe, pas du tout.

Volupté ?

 
Avec un ciel si bas qu'un canal s'est perdu
Avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité
Avec un ciel si gris qu'un canal s'est pendu
Avec un ciel si gris qu'il faut lui pardonner
Avec le vent du nord qui vient s'écarteler
Avec le vent du nord écoutez-le craquer
Le plat pays qui est le mien.

 

Aujourd'hui, un ciel très gris.

Aujourd'hui, de la pluie et encore de la pluie.

Puis, enfin, une accalmie. Sortir redécouvrir ce pays à la fin de l'hiver.

Ce pays qui ne connait pas le plat. Ce pays qui n'était pas le mien.

Ce pays que j'ai adopté.

Ce pays qui m'a adopté ?

 

 

lacDomp1

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 21:10

paul-personne-monte-sur-la-scene-de-l-espace-jean-blanc-ave

Il y a quelque mois : Personne avec ZZ Top !. Un avant goût mais quand le verrai-je en concert ?

 

 

Il y a quelques semaines : je vois en vacances, comment ?, que Paul Personne passe à la Bourse du Travail. Je deale avec le fiston pour me réserver tout de suite deux places. Tip top : c'est fait. 3° rang centré sur la scène.

 

 

Ces derniers jours : du boulot mais il y a ce concert à l'horizon

 

Hier soir H-2h30 : de derniers soucis mais qui ne devraient pas compromettre la soirée. Manquerait plus que çà !

 

Hier soir H-1h00 : casse-croûte sur les marches. Un dernier coup de fil pro. Ouf ....

 

Hier soir H-30 mn : en salle ! Yes ! Portable coupé. Plus rien ne peut arriver. Personne à l'étage. Tiens ...

 

Hier H-15 mn. Le parterre se peuple mollement.

 

H-5 mn. Visiblement même le parterre ne sera pas complet. J'étais persuadé qu'un gars comme çà remplissait à l'aise la Bourse. Comme quoi ...

Une surprise : une typologie de public assez variée en âge et en look. Là dessus je n'avais pas d'a priori !

 

H+15 mn (à peu près) : Paul Personne entre en scène. Un salut. Un titre. "Merci d'être là !". Un public qui est présent. 

 

Une composition qui me va bien. 2 grattes dont Paul Personne. Une basse. Une batterie. Basta.

 

Un peu plus tard. Une petite phrase, quelque chose genre "Merci de votre soutien". Impressionnant. Couplé avec une salle pas vraiment pleine.

 

Qu'à cela ne tienne : çà passe entre le public et la scène, malgré une salle peu proprice, avec aucune fosse.

 

Un moment en acoustique : superbe. Un public réduit, un artiste attachant. On a l'impression que c'est quelques potes sur scène qui jouent pour les copains.

 

Reprise en électrique. De vraiment bons moments de guitare. Et puis une voix envoûtante.

 

Vient le moment de la fin du concert.

 

Cette fois pour le rappel et jusque la fin du concert tout le monde est debout scellant le pacte avec Paul Personne.

 

Salut. Un salut chaleureux. Un salut qui remercie. Il a l'air d'avoir passé un bon moment. Souhaitons-le car pour nous ce fut vraiment un excellent moment ! Un moment de deux heures trente, un concert généreux, s'il fallait mesurer à la durée la générosité du concert.

 

Evidemment non mais la conclusion est juste : je qualifierais ce concert de généreux ! Vous me comprendrez ?

 

A propos, comment appelle-t-on déjà en philo un raisonnement faux qui se traduit par une conclusion vraie ?

 

PS : comme dans le premier article vous aviez une chanson, pour cette fois ce sera un instrumental !

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 22:28

4483

Mise en scène par Valérie Marinese. Avec Valérie Marinese et François Godart.

 

Une pièce de Sarah Kane. Que je ne connaissais pas.

 

Quelques emprunts au site de site de Première et leur article sur Sarah Kane :

- "Sarah Kane est née le 3 février 1971 à Brentwood dans l'Essex. Très tôt, elle s'intéresse aux métiers de la scène".

- Son univers apocalyptique [ ]  finit par l’emporter. Elle finit par mettre fin à sa vie en 1999 en laissant derrière elle une pièce intitulée 4.48 Psychosis. Le titre fait allusion à l’heure à laquelle elle se réveille tous les matins avec toujours le même désespoir. La pièce sera mise en scène un an plus tard et la critique célèbre sa disparition en reconnaissant son véritable talent et le mauvais jugement qu’ils ont eu à son égard de son vivant.

 

 

Sa difficulté de vivre est particulièrement bien écrite et forte. Regardant le spectacle je recherchais à quelle sensation récente cela me ramenait. Je viens de trouver ; c'est en effet à une lecture récente Ryûnosuke AKUTAGAWA / La vie d'un idiot.

 

On retrouve dans les deux cas les mêmes ingrédients réunis : un talent littérature et la "maladie mentale". Lorsque de tels artistes nous font part de leur tourment jusqu'à la veille de leur acte libérateur cela donne vraiment des oeuvres fortes. 

 

Je mets "maladie mentale" entre guillemets car on se sent, je me sens, toujours proche de ce type de récit.

Concernant la maladie de Sarah Kane j'ai découvert notamment quelques lignes sur le SYLVIA PLATH EFFECT  : "The Sylvia Plath effect is a term coined by psychologist James C. Kaufman in 2001. It refers to the phenomenon that creative writers are more susceptible to mental illness, though Kaufman’s studies demonstrated that female poets were more likely to suffer from mental illness than any other class of writers." 


 Je n'ai pas de compétence en la matière mais, à propos de tels sujets, je fais davantage le lien avec "L'éloge de la fuite" d'Henri Laborit. Comment l'une des stratégies d'évitement et de fuite consiste-t-elle en la création artistique.

 

Pour reprendre les termes de Valérie Marinese elle-même, cette pièce est "un échange avec un comédien, une voix, une figure jumelle qui serait comme un double du personnage central. Double, vision, ange, mèdecin ...fantôme... se croisant dans un vertige kafkaïen".

 

Le comédien est François Godart, tout à fait à la hauteur, sur divers registres,

 

Quant à Valerie Marinese, son interprétation comme sa mise en scène sont vraiment extraordinaires avec une forte tension continue et des moments vraiment très forts, soit par le jeu, soit par la mise en scène.

 

Depuis quelques années sur Lyon, nous avons vraiment vu de belles pièces de théatre, dont un certain nombre à l'Atelier. Et parmi elles déjà trois avec Valérie Marinese, ce dont je ne prends conscience qu'en lisant la plaquette de 4.48 Psychose :

- A la tombée de la nuit (Peter Turrini)

- TDM3 aux Ateliers

- et l'excellent "Shopping and fucking, avant que je n'entame ce blog, vu dans cette même petite salle Bernard Dort, qui est un cadre propice à ce type de théatre.

 

Parmi toutes ces pièces vues sur Lyon, aux Ateliers mais aussi au Théatre de la Croix Rousse, au TNP ou aux Célestins, 4.48 Psychose est aujourd'hui des quelques unes dont je garderai le souvenir le plus fort et l'inteprétation de Valérie Marinese l'une des plus impressionnantes.

 

J'ai rarement eu envie de me lever et dire "Bravo !" (comme certains pratiquent mais je ne me vois pas dans ce ... rôle).

 

Aujourd'hui je regretterais presque de ne pas l'avoir fait hier.

 

PS :

- je n'aime pas la lecture que suscite un excès de liens (comme trop de notes dans un livre). Je n'ai pas su faire mieux dans ce cas. Et il y en a encore un qui suit ...

- la vidéo de présentation sur le site du Théatre des Ateliers

- une vidéo d'une interprétation dans une ambiance assez proche :

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 21:20

Mousse1

Simple photo du soir. Bonsoir !

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11 mars 2012 7 11 /03 /mars /2012 21:09

Saone235

Acte 2 de cette traversée de Lyon le long de l'un des trois fleuves qui l'arrosent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un remake pour une petite sélection en couleur : un ciel bleu, les couleurs chaudes de bord de Saône, un ouvrage d'art, ...

 

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 05:11

Combas Robert-Moustache

Merci le MAC ! Merci Robert Combas

 

Quelle chance que de pouvoir visiter une telle exposition, Combas Greatest Hits, avec pour guide ... Robert Combas !

 

Hier soir nous avons donc pu parcourir l'expo en compagnie de l'artiste. Une heure et demie de propos libre sur son oeuvre. Une heure et demie particulièrement riche.

 

Après avoir participé au vernissage ( Combas Greatest Hits / MAC / Acte 0 ! ) et vu un Robert Combas apparemment peu à l'aise dans l'exercice, j'étais très curieux sur la forme qu'allait prendre cette visite guidée. En fait, pour gérer une forme de stress ?, il a pris la parole immédiatement  avec un débit riche et a gardé ce rythme pendant toute la visite.

 

Bien sûr il y a les explications sur les toiles et sculptures. Mais le plus intéressant est de voir comment telle ou telle technique, oeuvre, se rattache à la vie, dans quel contexte, sous quelle influence. De percevoir aussi comment se positionne l'artiste par rapport à tout cela.

 

Nous avons ainsi découvert un personnage, comment dire ?, attachant.

Un besoin d'expression artistique ancré très tôt et très fort dans sa vie. Une nécessité de s'exprimer ainsi.

Une volonté de ne pas se cantonner dans une démarche étroite mais de se renouveler, tester, essayer.

Sur le fond une source d'inspiration qui puise autant dans sa vie perso que dans un siècle et une culture qu'il met en avant sur un ton très juste.

Des anecdotes sur un sujet jamais facile : les affaires, le business. Un sujet facile pour personne dans notre société. Un sujet encore plus difficile lorsqu'on est l'artiste qui expose 600 oeuvres au MAC.

Et globalement un personnage qui apparaît sincère dans sa démarche. Et çà c'est essentiel à mes yeux.

 

Il en reste aussi l'envie de retourner une troisième fois dans cette expo :

- vernissage découverte mais pas facile d'être tranquille face à une oeuvre dans cette ambiance

- visite avec un tel guide : on se concentre sur l'écoute plus que sur le regard.

- une troisième visite avec l'esprit ainsi préparé. Si j'ai le temps, j'essaierai ! Par exemple pour revoir la salle dans laquelle se trouve l'oeuvre en vignette de cet article. Oeuvre largement commentée mais qui cotoie de nombreux "bijoux" sous forme de boîtes à thé ou de travaux sur verre.

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